Les vaccins sont un sujet chaud s’il en est. On dirait presque qu’il s’agit de religions : celle des pro vaccins et celle des anti vaccins. Dès qu’on aborde le sujet, des prises de positions diamétralement opposées et intransigeantes sont révélées. Plus possible d’avoir une discussion factuelle, le discours devient automatiquement émotionnel… des deux côtés.
Les vaccins sont des médicaments et, en tant que tels, devraient être évalués avec le même œil critique que tous les autres. Allant à l’encontre de toute notion de prudence, Santé Canada et la FDA (Food and Drug Administration des États-Unis) ont établi un processus d’approbation accéléré pour les vaccins. On met donc en circulation une nouvelle entité chimique sans la tester de façon satisfaisante. On évalue son efficacité dans un modèle de laboratoire, mais, chez l’humain, on se limite à des tests à petite échelle. Comment peut-on être certain que le vaccin aura le même effet dans la population? Qu’un médicament soit issu d’une protéine extraite d’un virus ou de la chimie pharmacologique, ne devrait-on pas avoir les preuves de son innocuité avant de nous l’administrer? Toute nouvelle substance devrait être testée sur un nombre suffisant de volontaires (et durant une période convenable) pour que son innocuité soit reconnue.
En ce moment, notre gouvernement semble considérer que nous n’avons aucune mémoire (ou, sinon, aucune intelligence). Vous rappelez-vous de l’épidémie de grippe aviaire? Pas moi. Cette fameuse épidémie aux proportions planétaires ne s’est jamais matérialisée. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, on nous la promettait à grand renfort de publicités. Suite à une campagne médiatique particulièrement bien orchestrée, nos gouvernements ont stocké un médicament (le Tamifluâ) dans l’espoir de se prémunir contre cette pandémie potentielle. Ce médicament, loin d’être inoffensif, ne montre qu’une légère efficacité si, et seulement si, il est pris dès les premiers symptômes de l’infection virale. De plus, même si on lui reconnait une certaine efficacité contre le virus de la grippe, il n’a jamais été testé contre cette nouvelle souche! Aujourd’hui, des millions de doses de ce médicament (probablement échu ou sur le point de l’être au moment d’écrire ces lignes) dorment quelque part à Ottawa dans les coffres du gouvernement et quelques milliards de dollars (les miens et les vôtres) n’y dorment plus. Évidemment, la compagnie productrice dudit médicament a vu son chiffre d’affaires et ses actions en bourse augmenter comme jamais auparavant. Anecdote savoureuse, un certain dénommé Donald Rumsfeld siège sur le comité de direction de la compagnie Gilead qui détient les droits du fameux médicament (voir: Chairman of the Board ).
Tout ça pour dire que notre gouvernement veut récidiver. À l’aide d’une autre campagne médiatique et en brandissant le spectre de la grippe espagnole, on renouvelle la campagne de peur. Puis, pour nous sauver, on nous promet un vaccin (dont on ne connaît ni l’efficacité, ni l’innocuité) qui, a en croire les médias, sera une prévention parfaite contre ce fléau aux proportions bibliques.
Le cas de la grippe porcine (H1N1) est pourtant semblable à celui de la grippe aviaire, sauf sur un point: il y a bel et bien eu épidémie. Par contre, comme citoyen, je trouve que, encore une fois, on ne me donne pas les informations nécessaires pour que je sois en mesure de bien apprécier la situation. On ne m’explique pas la différence entre cette grippe et une grippe saisonnière; on me dit que des gens sont décédés, mais on ne compare pas le nombre de décès à ceux causés par une grippe ordinaire (malgré l’épidémie, connaissez-vous beaucoup de gens qui sont décédés de la grippe H1N1?); on nous dit qu’il faut agir vite, mais on ne nous parle pas des incertitudes quant à l’innocuité du vaccin. On veut nous faire croire que cette épidémie se compare à celle de la grippe espagnole, mais aucune grippe contemporaine ne se rapproche de la grippe espagnole pour la simple et bonne raison que la situation est totalement différente (voir mon article sur la prévention des épidémies).
Je suis perplexe devant tout ce battage médiatique, cette campagne de peur engendrée par de bonnes intentions… probablement. Pourquoi devrions-nous servir de cobayes pour une substance insuffisamment testée? Pourquoi accélérer le processus d’approbation alors que le risque de contagion peut très bien être géré par de saines habitudes? Pourquoi acheter 50 millions de doses d’une substance qui n’est pas au point? Sommes-nous informés ou manipulés?
Et que pensez-vous de la vaccination pour les enfants de moins de cinq ans?
Caroline
Bonjour Caroline,
J’ai un gros problème avec tout le débat des vaccins. Je ne peux pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Dans le cas actuel, les médias et le ministère de la santé (alias de la maladie) ont créé un psychose pour une maladie somme toute bénigne. D’ailleurs, on devrait interdire aux médias de rapporter les décès, sauf si on peut prouver hors de tout doute que le décès est causé absolument par le virus. Et là, il faudrait documenter les causes réelles comme: y a-t-il des carences alimentaires, des maladies sous jacentes, etc.
On ne devrait publier dans les médias grands publics que les conclusions d’une analyse et donner accès à toute l’information sur un site indépendant. Ainsi, seulement, on pourrait juger du risque réel.
Si vous avez vu le documentaire de Découverte dimanche dernier le 8 novembre, on faisait état d’une statistique alarmiste qui n’est nullement valide. À savoir 1 personne sur 200 qui aurait la grippe se ramasse aux soins intensifs. C’est faux. Complètement faux. Ces chiffres ne sont basés sur rien. D’ailleurs, les hopîtaux ne testent pratiquement plus pour déterminer le virus.
De plus, si cette statistique était vraie, les hopitaux seraient déjà bondés.
Ste-Justine a fait un communiqué pour dire aux gens que s’ils ont des symptômes de grippe, il faut rester chez soi. Cette grippe est moins pire que l’influenza annuel.
Alors pourquoi toute cette fausse propagnade de la peur ?
Quand à savoir s’il faut ou non vacciner, c’est votre décision.
JYD
J’écris aujourd’hui, car une personne que je connaissais est décédée de la grippe A. C’était évidemment une personne fragile, jeune (45 ans) mais fragile… qui aurait pu mourir d’une autre affection pulmonaire.
S’il ne faut pas s’affoler outre mesure avec cette grippe A, si les personnes jeunes et en bonne santé ne risquent après tout, rien d’autre qu’une… grippe…
il est particulièrement recommandé aux personnes asthmatiques, souffrant de maladies cardiaques, pulmonaires, atteintes du VIH, ayant des problèmes de bronchite chronique, ou tout simplement agées de se faire vacciner.
Je crois maintenant sincèrement qu’il en va de leur vie.
j’ai développé par le passé 2 pneumosystoses…
Je me fais vacciner depuis plusieurs années contre la grippe. Je ne l’ai pas attrapée depuis, alors que je travaille au contact du public…
Mon mari qui est en pleine forme physique (sportif, non-fumeur, faisant très attention à son alimentation…) a attrapé la grippe l’hiver dernier. 4 semaines dans un sale état… Il veut maintenant se faire vacciner à tout prix !
Ne vous précipitez pas sur le vaccin si vous n’êtes pas de constitution fragile MAIS ne vous laissez pas non plus avoir par de nébuleuses théories du complot…
Ne réagissez pas comme les membres de ces sectes refusant de faire vacciner et/ou transfuser leurs enfants…
Et pour vous, qui êtes en bonne santé, et n’avez aucune raison de vous faire vacciner, prenez des précautions simples et efficaces d’hygiène et de prévention.
Brigitte
Bonjour Brigitte
Au bout du compte, votre opinion est sensiblement la même que la mienne. D’abord, les bonnes habitudes de vie et ensuite, le cas échéant, les interventions pharmacologiques. Finalement, si ni les habitudes de vies ni les médicaments n’ont donné d’effet, alors l’intervention médicale plus invasive doit être considérée.
Merci pour votre commentaire.
JYD
Bonjour à tous,
Je l’attendais ce billet de notre ami J.-Y. Bien ciblé, proche de la réalité au quotidien et plein de bon sens civique et scientifique.
Une page intéressante:http://dbloud.free.fr/rhume.html j’invite André Garneau à lire LETTRE CONFIDENTIELLE dans cette page…
Bon la crédulité et la foi aveugle envers les structures de santé publique pour moi c’est du passé. J’ai du respect mais aussi l’esprit critique pour l’OMS qui s’est fait échaudé par la crise du SRAS et maintenant avec les nouveaux virus on dirait une volaille devant son boucher. Excusez ce jugement de valeur!
Pendant ce temps, chez les alchimistes et les druidesses d’Aliksir on ne chôme pas: recherche et mise à jour des connaissances scientifiques sur les huiles essentielles anti-virales et viricides pour les virus à enveloppe de type influenza ainsi que les HE immuno-stimulantes.
Objectif: quelques parfums de type bouclier aromatique pour les plus pro-actifs. Sans se pêter les bretelles les nouveaux venus comme les anciens, mutants ou pas n’ont qu’à bien se tenir avec des cocktails de plus de 800 principes actifs en action synergitique. La saison des parfums artisanaux s’annonce des plus intéressante.
Sentez
Bonjour Pierre
Bel argument. À quand l’étude clinique ? 🙂
Au plaisir… olfactif
JYD
ce qui me déplait c’est de lire que les effets secondaires du vaccin sont «théoriques»… Nous ne sommes pas des statistiques, mais des humains… avec notre propre système immunitaire de force variable selon les individus…
Bonjour Jean-Yves,
Heureux de voir que tu traites du sujet. J’aimerais savoir si tu as la même information en anglais pour le bénéfice de certains de mes clients et/ou amis.
Concernant le présent sujet, je ne sais pas si tu t’en souviens mais nous avons vécu quelque chose de similaire en 1976. Est-ce que cela avait été nommé la grippe porcine ou la grippe chinoise peu m’importe mais voici un aperçu de ce qui m’est arrivé ainsi qu’à plusieurs autres.
À l’époque j’étais un jeune militaire et nous avons été ordonné (forcé sans pouvoir même avoir recours à nos droits en tant qu’individus) de recevoir le fameux vaccin. Dans la soirée j’étais tellement mal en point que ce sont 2 de mes camarades qui m’ont retrouvé accroupis dans le seuil de ma porte agonisant tellement j’avais mal et que ma tête semblait sur le point d’éclater. Il devait être aux environs de minuit quand ils m’ont trouvé et ils m’ont immédiatement emmené à l’infirmerie. Cela a prit un certain temps avant que je ne sois reçu et je n’ai même pas eu la chance de voir un médecin et c’est le « médic » en devoir qui m’a donné 2 aspirines en me disant de revenir le lendemain matin si je n’étais pas mieux. Je tremblait de douleur et de fièvre et malgré le fait que j’aie été mal en point pendant près de 3 jours, je n’ai eu droit qu’à une maigre journée de répit. Je ne suis pas le seul qui était dans cet état et nous avons quand même été dans l’obligation de continuer notre travail. Pas besoin de te dire que nous étions loin d’être fonctionnel mais nous étions des « soldats » et nous devions obéir aux ordres. J’ignore combien de gens ont souffert comme moi mais je suis persuadé que les statistiques seraient effarantes.
Toujours sur le même sujet, la semaine dernière je discutais avec une amie de Québec, elle est professeur et directrice adjointe et ce qu’elle me disait à propos de leurs directives étaient tout à fait ahurissant. Les étudiants qui se présenteront à l’école avec une légère toux, fièvre, ou un symptôme pouvant s’apparenter à la « pandémie » devront être retourné chez eux. Les parents devront venir les chercher à l’école car ils ne seront pas admis et ne pourront rester sur la propriété de l’école. Même scénario pour les professeurs. Considérant la pénurie existante dans le monde enseignant il est de mon avis que cela ne prendra pas grand-chose pour qu’il y ait certaines journées où les classes ne pourront être dispensées à cause d’un manque de personnel. Scénario similaire au niveau des garderies.
CCH a mis sur pied un séminaire de « formation » (désinformation si tu veux mon avis) pour expliquer les responsabilités qui incombent aux propriétaires et dirigeants d’entreprises (voir le présent lien : http://www.cch.ca/bulletins/BdeC/lettre_wpan2-0809.pdf). Le ministère de la santé a alloué des millions de dollars pour implanter des systèmes informatiques ainsi que des campagnes de « sensibilisation » pour expliquer aux citoyens comment ils devront procéder pour aller se faire vacciner. Et j’en passe. Je ne sombrerai pas dans les scénarios de conspirations mais il y en a déjà plusieurs qui circulent.
Merci du temps que tu accordes à l’ensemble de tes chroniques pour nous tenir informé. Bonne journée !
André G.
Bonjour Jean-Yves,
Tu mentionnes que nous ne sommes pas assez bien informé. J’ai vraiment l’impression que c’est une campagne de peur que nous vivons. Je ne suis pas du tout contre la vaccination, la preuve, mes enfants ont eu tous les vaccins usuels. Par contre, ces vaccins (poliomyélite, diphtérie, tétanos, etc.) ont fait leurs preuves dans le temps et sont, à mon avis, absolument nécessaire.
La Grippe, par contre, en temps normal, chez une personne en santé, ne tue pas. Oui, elle est souffrante mais, lorsque contractée, nous en sommes immunisés ensuite, une immunisation naturelle et non induite.
Je voudrais avoir des statistiques relatives aux personnes qui en sont décédées jusqu’à date, quel était leur état de santé? Était-ce des personnes fragiles ou en bonne santé? Si la proportion de décès chez les personnes en santé est élevée, alors la vaccination devient plus essentielle. Mais si la proportion de personnes en santé qui en sont décédées demeure faible alors, la vaccination n’est pas nécessaire chez les gens qui ne sont pas à risque.
Tu dis que les gouvernements semblent considérer que nous n’avons pas de mémoire. En voici un autre exemple que j’ai lu récemment et dont le texte complet se retrouve au lien ci bas.
« En 1976, alors que des militaires américains avaient été frappés par un virus H1N1 de souche porcine. Les autorités avaient procédé en catastrophe à une vaccination de masse avant de se rendre compte qu’il n’y avait pas de pandémie et que le vaccin provoquait une paralysie chez certains. »1
1. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/200909/01/01-897873-grippe-ah1n1-faut-il-craindre-le-vaccin.php
N’avons-nous pas appris par les erreurs du passé?
Salutations,
Suzanne
Bonjour Suzanne
L’article que vous citez est tout à fait à propos. La paralysie en question est une forme du syndrome Guillain Barré. D’ailleurs, ces cas, si rares soient-ils, sont la preuve qu’une substance injectable quelle qu’elle soit doit être traitée avec respect. L’innocuité parfaite n’existe pas. Même en homéopathie, au grand dam des détracteurs, on constate quelques fois des aggravations et des effets secondaires (preuve que l’homéopathie n’est pas du vide). Au risque de me répéter : Un effet secondaire n’est qu’une statistique jusqu’à ce qu’on en soit la victime.
JYD
Disponible sur la boutique en ligne | Available online soon
Ou en composant | or by dialing
514.283.9000 ou/or 1-800-267-7710
SILENCE ON VACCINE LINA MORECO
et je reçois l’information de Lina Moreco ce matin …
«Quel plaisir de vous annoncer la sortie DVD de SILENCE ON VACCINE.
IMPORTANT : L’ONF a permis la sortie du documentaire sous condition qu’aucune personne,
aucun commerce, ne puisse acquérir le film pour la revente. De plus aucune publicité ne sera faite
pour faire connaître la sortie DVD. Conséquemment la population ne sera pas informée de la sortie du
documentaire. Pour cette raison, je vous remercie de faire parvenir ce courriel à tous vos contacts, que
l’information circule, et que la sortie du documentaire ne reste pas sous silence»
Alors le lobby des vaccins l’emporte sur le peuple…
Merci Jean-Yves…
Merci Jean-Yves pour ces éclaircissements. Comment renverser la vapeur devant cette phobie collective savamment orchestrée par ceux qui ont intérêt à vendre des produits et à entretenir la peur ? Une personne des USA (Naomi Klein) vient de publier un bouquin sur « La stratégie du choc » comme moyen de dominer et de manipuler les populations, en créant une panique et en détournant l’attention des vrais enjeux.
Bonjour Bernard
Absolument, j’adore les écrits de Naomi Klein. Une journaliste et économiste qui n’a pas froid aux yeux. Dans tout ce cirque médiatique et promotionnel, j’aimerais une chose : Que nous, les citoyens, soyons traités comme des adultes avec des faits et de vraies informations et non manipulés avec des peurs et des sentiments comme si nous n’avions pas la liberté de choix et la capacité de comprendre. Je ne sais pas comment renverser la vapeur, comme vous dites, si ce n’est en faisant ce que je fait : de l’information vraie et solide pour les gens qui veulent s’informer.
Au plaisir et … bonne santé
JYD
Quand allons nous, nous débarrasser de ces gouverne et ment corrompue??????????
Pourquoi est-ce que nous acceptons de nous faire diriger par de tel incompétent!
Il est temps de faire comme nous avons fait avec la religion catholique au Québec, arrêter de donner, et tourner nos dos a cette machine gouverne et mental!
Il existe des nouvelle forme de société qui nous sont propose, aller voir « The Venus Project » et changeons de direction avant qu’il ne soit trop tard!
Bonjour Bill
Je suis d’accord avec votre questionnement pour la simple raison que les décideurs ne fonctionnent que sur ce qu’ils ont devant eux. Comme les puissants de toujours ont un accès privilégié aux décideurs, le bénéfice réel de la population, du plus grand nombre, est trop souvent relégué au dernier plan par rapport au bénéfice du petit nombre, les puissants. Par contre, je suis très pessimiste quant à la possibilité de tout changer. J’opte plus pour une approche de résistance tranquille où chaque action est un vote. Bref, vous avez compris que je ne vais pas manger dans les chaînes de néfaste food ni faire mes achats dans les méga centres…
J’aime beaucoup encourager le petit entrepreneur dans le plus de sphères possibles.
JYD
Félicitations pour votre article. Il n’y a pas que dans le cas de la grippe que le gouvernement fait la promotion de la vaccination. Je me rappelle clairement la joie de la Présidente d’une grande entreprise pharmaceutique se réjouir du fait que c’était le gouvernement canadien, avec les fonds publics, qui allait faire la promotion de la vaccination contre le virus du papillome humain… le monde à l’envers.
Bonjour Anne
Vous avez raison. Un aspect troublant par rapport au vaccin contre le condylome : même s’il était efficace, il n’entrainerait aucune économie en santé publique puisque 1- tous les tests de dépistage (pap et autres) devront être effectués; 2- le vaccin encourage un comportement d’inconséquence de type « syndrome superman » en donnant l’impression d’une protection. Alors que, s’il est efficace, il ne le sera que contre certaines souches de virus qui causent une seule maladie : Le condylome. Donc aucune protection contre les autres MTS »
JYD
C’est vraiment bien de poser à la fois qu’il y a une empreinte émotionnelle forte sur la vaccination (on est pour ou contre et cette appartenance conduit à des positions dogmatiques), qu’il y a un vrai problème avec le vaccin H1N1 à venir et que le questionnement se pose à un niveau de « citoyen », pris entre sa conscience individuelle et l’environnement collectif auquel il appartient.
Cette épidémie qui arrive dans ce contexte est finalement une belle occasion de développer et mettre en œuvre notre souveraineté individuelle.
NB – La référence à la grippe aviaire en revanche me gêne, car il s’agissait d’une pure spéculation, alors que la grippe H1N1 est une réalité.
Bonjour Jacques,
Je suis entièrement d’accord avec vous. D’ailleurs, c’est ce qui est écrit, en d’autres mots, à propos de la pseudo épidémie de grippe aviaire… je ne m’en souviens pas parce qu’elle n’a jamais existé. Pas plus que l’épidémie de virus du Nil, et toutes les autres fabulations médiatiques.
JYD
Ah! Ça fait du bien de lire quelqu’un de très crédible du milieu de santé parler de façon aussi sensée! Je me disais justement que les gens n’avaient pas de mémoire… la grippe aviaire n’a jamais eu lieu malgré le battage médiatique qu’on a pu avoir. Ça me désole de voir que nous gouvernement dépensent des milliards pour un produit chimique dont on ne sait pas grand chose selon ce que vous semblez dire. Après, les politiciens se plaignent qu’ils n’ont pas assez d’argent pour tous les programmes sociaux… Vraiment désolant. À quand la campagne générale sur les mesures de prévention (des saines habitudes de vie), pas cher et si simples ???
Bonjour Catherine
Le gros bon sens n’a jamais créé de côte d’écoute ni fait élire qui que ce soit.
🙂
JYD