• Recherche

En juillet 2010, je vous parlais d’une étude sur l’aspartame qui faisait un lien entre la consommation régulière de boissons gazeuses sucrées à l’aide de cet édulcorant et des naissances prématurées et petits poids de naissance (voir Les édulcorants synthétiques: sécuritaires?).

Récemment en France, l’aspartame a fait la manchette.(1,2) Des groupes d’activistes et de scientifiques, dont des médecins et gynécologues, demandent au ministre de la santé français, Xavier Bertrand, d’agir pour prévenir les femmes enceintes de ces dangers.

D’ailleurs, depuis quelques années, l’aspartame a bien mauvaise presse et son usage est lié à beaucoup plus que ces effets chez la femme enceinte. On le dit responsable de l’épidémie d’obésité, de cancers et d’autres maladies. Pourtant, de leur côté, les agences de protection de la santé (FDA, Santé Canada, Agence européenne, etc.) le considèrent sécuritaire. Ses opposants prétendent que ces agences marchent la main dans la main avec les pharmaceutiques (dans ce cas-ci, Monsanto) qui le produisent.

Devrait-on s’en préoccuper?

Innocuité de l’aspartame

En général, les revues de documentation concluent que l’aspartame, aux doses recommandées, est sécuritaire.(3) D’ailleurs, ce succédané de sucre est en vente libre depuis les années 1980 et son usage s’est généralisé en 1996 avec la levée de la restriction sur les aliments permis. Depuis ce temps, on n’a constaté aucune montée en flèche d’une ou de plusieurs pathologies qui pourraient, de près ou de loin, être liées à la consommation de l’aspartame. Certaines publications vont cependant dans le sens contraire de ces rapports généraux.

Méthanol et formaldéhyde

Vous avez probablement déjà reçu un de ces courriels alarmistes contenant un document PowerPoint qui affirme que l’aspartame relâche une molécule de méthanol dès que la température atteint les 80 degrés Fahrenheit (26 degrés Celsius). Selon cette théorie, cet édulcorant se dégraderait soit dans le corps, soit lors de son entreposage. Le méthanol libéré se transformerait en formaldéhyde et deviendrait très toxique pour le corps, notamment pour le système nerveux.

En fait, une partie de ceci est vrai. Des chercheurs ont montré que le métabolisme de l’aspartame libère bel et bien ces molécules, qui sont éminemment toxiques, et que cette libération peut entrainer des effets néfastes in vivo.(4) Cependant, comme pour tout poison, la dose est importante. En réponse à la publication de cette étude, d’autres chercheurs rapportent que les quantités obtenues chez des volontaires sont infimes, et ce même à des doses plus élevées que celles permises. La dose permise est de 50 mg/kg/jour, et celle utilisée dans l’étude était de 200 mg/kg/jour. Dans cette dernière étude, on a effectivement mesuré la libération de méthanol, mais à des niveaux loin en deçà des niveaux potentiellement toxiques.(5)

Personnellement, je dirais que, même si la quantité n’est pas suffisante, ça reste une substance toxique de plus dans mon corps… Mais ce n’est que mon opinion…

Fibromyalgie et céphalées

L’aspartame, ainsi que le GMS (glutamate monosodique, mieux connu sous son sigle anglais MSG), sont considérés comme des excitotoxines. En effet, leur métabolisme entraine respectivement l’augmentation, au cerveau, des taux d’aspartates et de glutamates. Ces substances ne sont pas toxiques, mais peuvent entrainer, dans certaines circonstances et chez des individus sensibles, une surstimulation qui peut causer des effets adverses. Ainsi, on rapporte plusieurs cas de fibromyalgie qui se sont grandement améliorés, voire complètement résorbés, à l’arrêt de l’aspartame.(6,7) Le même mécanisme d’action est mis en cause pour des maux de tête induits par la consommation d’aspartame.(8)

Cancer

Le lien entre la consommation d’aspartame et les cancers a fait couler beaucoup d’encre. Au-delà de la chasse aux sorcières, il existe effectivement un fondement derrière cette affirmation.(9) L’aspartame peut être transformé, dans l’intestin, en nitroso-aspartame, et ce métabolite particulier est cancérigène.(10) Par contre, il n’apparait pas toujours, et même rarement, chez les humains normaux.

Par contre, chez des rats (plus de 25 000 rats) soumis à différentes doses quotidiennes d’aspartame dès l’âge de 8 semaines, on a noté une augmentation significative de plusieurs types de cancers dans divers organes: cancers du pelvis, de l’appareil urinaire, lymphomes, leucémies, etc.(11) Ces cancers et dysplasies sont apparues à des doses proportionnelles à celles consommées par les humains. Cette étude est la première à observer la consommation d’aspartame durant toute la vie des animaux, une situation qui s’apparente à celle de plusieurs de nos concitoyens. Les auteurs concluent qu’il est urgent de revoir la consommation d’aspartame et ses limites.

Rapports de cas

De nombreux effets adverses de l’aspartame ont étés mentionnés dans des rapports de cas:

  • Convulsions et hyponatrémie (12-15)
  • Migraines et céphalées (16-19)
  • Dermatite/urticaire (20,21)
  • Fibromyalgie (22,23)
  • Panniculite lobulaire (24), panniculite granulomateuse (25)
  • Convulsion et manie (26)
  • Étourdissements (27)
  • Fibrillation auriculaire (28)
  • Panique (29)
  • Sensibilité neurofaciale (30)
  • Syndrome du restaurant chinois (31)
  • Syndrome du tunnel carpien (32)
  • Thrombocytopénie (33)

Effet sur la satiété

La consommation d’édulcorants non caloriques, dont l’aspartame, est associée à une augmentation de la sensation de la faim et ces substances suscitent, chez les consommateurs, le développement de comportements alimentaires erronés. Paradoxal n’est-ce pas? Quand on pense qu’on consomme ces produits pour maigrir (ou ne pas engraisser)…

Conclusion

L’aspartame n’est peut-être pas le poison que certains prétendent. Par contre, son effet sur la satiété ainsi que ses effets adverses possibles nous permettent d’émettre des doutes sur sa sécurité. S’il s’agissait d’un médicament, son potentiel d’effets adverses pourrait être acceptable compte tenu de ses bénéfices. Mais quels sont ses bénéfices?

Les scientifiques français, se basant sur le principe de précaution, recommandent la diffusion d’avertissements pour inciter les femmes enceintes à la prudence. Ce serait déjà un début, mais il faudrait inciter tous les consommateurs à la prudence. J’irais même jusqu’à dire qu’il faudrait carrément retirer cette substance du marché puisqu’elle n’apporte aucun bienfait, rien que des risques.

Références

  1. http://www.europe1.fr/France/L-aspartame-10-ans-de-polemique-820721/
  2. http://www.francesoir.fr/actualite/sante/aspartame-et-prematurite-un-cocktail-dangereux-157558.html
  3. Magnuson BA, Burdock GA, Doull J, et al. Aspartame: a safety evaluation based on current use levels, regulations, and toxicological and epidemiological studies. Crit Rev Toxicol. 2007;37(8):629-727. Review. PubMed PMID: 17828671.
  4. Trocho C, Pardo R, Rafecas I, et al. Formaldehyde derived from dietary aspartame binds to tissue components in vivo. Life Sci. 1998;63(5):337-49. PubMed PMID: 9714421.
  5. Tephly TR. Comments on the purported generation of formaldehyde and adduct formation from the sweetener aspartame. Life Sci. 1999;65(13):PL157-60. PubMed PMID: 10503962.
  6. Smith JD, Terpening CM, Schmidt SO, Gums JG. Relief of fibromyalgia symptoms following discontinuation of dietary excitotoxins. Ann Pharmacother. 2001 Jun;35(6):702-6. PubMed PMID: 11408989.
  7. Ciappuccini R, Ansemant T, Maillefert JF, et al. Aspartame-induced fibromyalgia, an unusual but curable cause of chronic pain. Clin Exp Rheumatol. 2010 Nov-Dec;28(6 Suppl 63):S131-3. PubMedPMID: 21176433.
  8. Van den Eeden SK, Koepsell TD, Longstreth WT Jr, et al. Aspartame ingestion and headaches: a randomized crossover trial. Neurology. 1994 Oct;44(10):1787-93. PubMed PMID: 7936222.
  9. Whitehouse CR, Boullata J, McCauley LA. The potential toxicity of artificial sweeteners. AAOHN J. 2008 Jun;56(6):251-9; quiz 260-1. Review. PubMed PMID: 18604921.
  10.  Shephard SE, Wakabayashi K, Nagao M. Mutagenic activity of peptides and the artificial sweetener aspartame after nitrosation. Food Chem Toxicol. 1993 May;31(5):323-9. Review. PubMed PMID: 8505016.
  11. Soffritti M, Belpoggi F, Degli Esposti D, et al. First experimental demonstration of the multipotential carcinogenic effects of aspartame administered in the feed to Sprague-Dawley rats. Environ Health Perspect. 2006 Mar;114(3):379-85. PubMed PMID: 16507461; PubMed Central PMCID: PMC1392232.
  12. Mortelmans LJ, Van Loo M, De Cauwer HG, Merlevede K. Seizures and hyponatremia after excessive intake of diet coke. Eur J Emerg Med. 2008 Feb;15(1):51. PubMed PMID: 18180668.
  13. Eshel Y, Sarova-Pinhas I. Aspartame and seizures. Neurology. 1993 Oct;43(10):2154-5. PubMed PMID: 8413994.
  14. Tollefson L, Barnard RJ. An analysis of FDA passive surveillance reports of seizures associated with consumption of aspartame. J Am Diet Assoc. 1992 May;92(5):598-601. PubMed PMID: 1573143.
  15. Wurtman RJ. Aspartame: possible effect on seizure susceptibility. Lancet. 1985 Nov 9;2(8463):1060. PubMed PMID: 2865529.
  16. Jacob SE, Stechschulte S. Formaldehyde, aspartame, and migraines: a possible connection. Dermatitis. 2008 May-Jun;19(3):E10-1. PubMed PMID: 18627677.
  17. Newman LC, Lipton RB. Migraine MLT-down: an unusual presentation of migraine in patients with aspartame-triggered headaches. Headache. 2001 Oct;41(9):899-901. PubMed PMID: 11703479.
  18. Blumenthal HJ, Vance DA. Chewing gum headaches. Headache. 1997 Nov-Dec;37(10):665-6. PubMed PMID: 9439090.
  19. Johns DR. Migraine provoked by aspartame. N Engl J Med. 1986 Aug 14;315(7):456. PubMed PMID: 3736626.
  20. Hill AM, Belsito DV. Systemic contact dermatitis of the eyelids caused by formaldehyde derived from aspartame? Contact Dermatitis. 2003Nov;49(5):258-9. PubMed PMID: 14996049.
  21. Kulczycki A Jr. Aspartame-induced urticaria. Ann Intern Med. 1986 Feb;104(2):207-8. PubMed PMID: 3946947.
  22. Ciappuccini R, Ansemant T, Maillefert JF, et al. Aspartame-induced fibromyalgia, an unusual but curable cause of chronic pain. Clin Exp Rheumatol. 2010 Nov-Dec;28(6 Suppl 63):S131-3. PubMed PMID: 21176433.
  23. Smith JD, Terpening CM, Schmidt SO, Gums JG. Relief of fibromyalgia symptoms following discontinuation of dietary excitotoxins. Ann Pharmacother. 2001 Jun;35(6):702-6. PubMed PMID: 11408989.
  24. McCauliffe DP, Poitras K. Aspartame-induced lobular panniculitis. J Am Acad Dermatol. 1991 Feb;24(2 Pt 1):298-300. PubMed PMID: 1820749.
  25. Novick NL. Aspartame-induced granulomatous panniculitis. Ann Intern Med. 1985 Feb;102(2):206-7. PubMed PMID: 3966759.
  26. Walton RG. Seizure and mania after high intake of aspartame. Psychosomatics. 1986 Mar;27(3):218, 220. PubMed PMID: 3961094.
  27. Gulya AJ, Sessions RB, Troost TR. Aspartame and dizziness: preliminary results of a prospective, nonblinded, prevalence and attempted cross-over study. Am J Otol. 1992 Sep;13(5):438-42. PubMed PMID: 1443079.
  28. Burkhart CG. ‘Lone’ atrial fibrillation precipitated by monosodium glutamate and aspartame. Int J Cardiol. 2009 Nov 12;137(3):307-8. PubMed PMID: 19211163.
  29. Drake ME. Panic attacks and excessive aspartame ingestion. Lancet. 1986 Sep 13;2(8507):631. PubMed PMID: 2875345.
  30. Reed BE, Barrett AP, Katelaris C, Bilous M. Orofacial sensitivity reactions and the role of dietary components. Case reports. Aust Dent J. 1993 Aug;38(4):287-91. PubMed PMID: 8216037.
  31. Galland MC, Comuce C, Bourdillon N. [Chinese restaurant syndrome. Implication of drugs]. Therapie. 1987 May-Jun;42(3):291-4. French. PubMed PMID: 3660323.
  32. Robbins PI, Raymond L. Aspartame and symptoms of carpal tunnel syndrome. J Occup Environ Med. 1999 Jun;41(6):418. PubMed PMID: 10390691.
  33. Roberts HJ. Aspartame-induced thrombocytopenia. South Med J. 2007 May;100(5):543. PubMed PMID: 17534100.

 

22 commentaires

  1. Pour ce qui est de la fibromyalgie, pour en être atteinte depuis l’âge de 18 ans, (J’ai 47 ans) mais non diagnostiqué officiellement,même si trois médecins m’ont déjà dit que j’en serais atteinte et le nom est souligné en gros dans mon dossier d’hôpital. Ma soeur qui a les même problèmes, elle oui. J’ai complètement changé mon alimentation il y a deux ans, bien que je la considérais très bonne. J’ai presque complètement éliminé le gluten et les produits laitiers et je mange encore plus (voir énormément) de fruits et de légumes. Bref, j’évite tout ce qui est encrassant pour le corps le plus possible: sauce, sucre industriel, gluten, produits laitiers etc… etc… Je mange donc HYPOTOXIQUE tout simplement et ma santé ne cesse de s’améliorer depuis, au travers des petis désagréments de la sortie des toxines (crises de détoxinations). Je n’ai plus de problème d’hypothyroïdie, déternuement et de congestion nasale à longueur d’année, de maux de tête, de règles hémorragiques (j’étais anémique depuis l’âge de 18 ans) etc… etc…

    Je n’ai jamais consommé d’aspartame et n’en consommerai jamais!!!

    Merci.

    Chantale

    1. Bonjour Chantale
      merci pour ce témoignage. En effet, l’aspartame peut être coupable d’une partie des troubles mais certainement pas la seule cause. Vous en êtes la preuve.
      santé!

  2. Bonjour Jean-Yves ,

    Bien d’accord avec vos commentaires sur l’aspartame ,
    Bien d’accord aussi avec M . Claude Gélinas
    au sujet du Stévia et du Xylitol .
    J’utilise le Splenda et je n’ai pas encore lu d’article lui imputant des effets toxiques .
    Quel est votre opinion sur ce sujet ?

    J.Ls Boivin M.D.

  3. Je consomme la gomme sans sucre EXCEL, 2 carrés plusieurs fois par jour et ce, depuis plusieurs années, pour m’assurer d’une bonne haleine.

    Elle contient maltitol, sorbitol, mannitol, aspartame et acésulfame-potassium.

    À ce que je viens de lire, suis-je à risque de développer des problèmes de santé ? Si oui, lesquels ?

    Et si je cesse de consommer ce produit maintenant, est-ce que les risques s’annuleront complètement ou si je suis intoxiquée par ce produit ?

    Merci.

    1. Bonjour Nicole,
      Si vous aviez à être intoxiquée, vous le seriez déjà. En fait, les personnes sensibles réagissent à ces substances comme l’aspartame. Celles qui ne le sont pas, ont une tolérance assez élevée. Donc, si la gomme est votre seule source et que vous ne ressentez pas de symptômes comme des fatigues inexpliquées, alors vous n’êtes pas en danger.
      Santé!

  4. À peu près impossible que l’aspartame réusissent à rentrer dans mon corps… car je consomme à 95% biologique et l’aspartame y est interdit dans le cahier des charges du bio.

    Raison de plus de consommer bio!… 😉

    1. Bonsoir monsieur Arsenault:

      L’aspartame se faufile dans les médicaments, même les très populaires chez les thérapeutes comme Usana (lire les ingrédients : talc et aspartame dans les suppléments pour enfants) et aussi dans les produits certifiés bio. Il faut prendre l’habitude de lire les ingrédients de tout qu’on va mettre soit en bouche ou sur notre peau. Monsanto a cloné l’aspartame sous le nom de Neotame qui est accepté dans les produits casher et biologiques américains : http://foodfreedom.wordpress.com/2010/12/22/monsantos-neotame-molecule-allowed-in-usda-certified-organic-foods/

      http://curezone.com/forums/fm.asp?i=1748544

      Petite parenthèse – Une expérience intéressante à faire utilisant l’aspartame comme poison contre les fourmis : http://www.relfe.com/2010/aspartame_ant_cockroach_poison.html

      Vaut mieux acheter bio et local parce que la certification québécoise était plus stricte mais nos chers voisins du sud ce sont plaints et nous avons dû plier pour que leurs produits soient importés…ALENA oblige 🙂

  5. Bonjour Jean-Yves,

    J’ai déjà lu également que l’aspartame réduirait le nombre de macrophages et ainsi l’immunité. As-tu des détails à ce sujet?

    Merci

  6. Bonjour Jean-Yves,

    Quoi que je ne consomme pas de l’aspartame, je connais plusieurs femmes qui le font de façon régulière et qui paiement des fâcheuses conséquences; il ne faut pas oublier que 50% des consommateurs d’aspartame augmentent de poids avec sa consommation :

    • Céphalées et diarrhée instantanées suite à la prise de l’aspartame avec café. Les deux symptômes disparus aussitôt l’aspartame éliminé.
    • Lupus et obésité sur une personne qui ne consomme que des produits dits « diète ». refuse de changer d’habitude.
    • Consommation minimum d’une Coke diète familiale quotidienne : céphalées et obésité. Les céphalées sont blâmées sur la haute pression.
    • Fibromyalgie et obésité sur une grande consommatrice d’aspartame et technologie sans fil. Refuse de changer ses habitudes.
    • Obésité et céphalées; consommation quotidienne de Coke diète. Céphalées disparues avec l’arrêt de ce breuvage.

    Le stevia est un meilleur chois mais pas le xiltol qui risque de donner de la diarrhée, comme toutes les sucres alcool.

    Rien de mieux que manger ce que la mère nature nous offre et le moins transformé possible et pas trop sucré 🙂

  7. Merci pour cet article, Jean-Yves!

    J’aimerais rappeler aux lecteurs qu’il existe deux alternatives 100% naturelles, santé et sans aucun effet nocif sur la santé: il s’agit du Stevia et du Xylitol.

    L’industrie ne se discipline pas et recherche le profit, à tout prix. Il faut apprendre à se défendre de cette invasion commerciale qui n’a tout simplement pas notre santé à cœur.

    Et en ce qui a trait à l’aspartame, je m’assure de l’éviter, autant que possible.

  8. Merci pour cette mise à jour ! Petite question :
    j’ai toujours interdit à mes enfants de consommer des produits à base d’aspartame. Je me souviens vaguement d’avoir lu qu’aucune étude de qualité sur l’innocuité chez les enfants n’avaient été effectuée. Avez-vous des informations à ce sujet ?

    1. Bonjour Alexandra,
      Si vous voulez parler d’études indépendantes sur la question, vous avez complètement raison. Il n’y en a pas à part des études d’observations qui vont toutes dans le même sens : L’aspartame peut être dangereuse.
      Donc, à éviter.
      Santé!

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée.

*

Pour vous, je garde un pied dans la science et l’autre dans le gros bon sens.